Le bouton-pression permet, comme l’agrafe, une fermeture invisible. Mais comme il risque de s’ouvrir facilement, on ne l’utilise que pour des fermetures qui ne sont pas sollicitées. Par exemple, il ne faut pas fermer une ceinture de jupe ou de pantalon avec un bouton-pression : on risque d’avoir un problème après un repas copieux.
Les boutons-pression sont métalliques. Ils existent en différentes tailles et en deux couleurs : noir et gris acier.
Le bouton pression est composé de deux parties : l’une avec un creux, l’autre avec une bosse.
1/ déterminer l’emplacement.
La partie avec bosse est sur le côté du vêtement qui vient par-dessus l’autre.
On la coud sur l’envers.
La partie avec creux est sur le côté qui est au-dessous. On la coud sur l’endroit.
Il faut déterminer avec précision l’emplacement des deux parties pour qu’elles soient bien en face l’une de l’autre.
2/ coudre chaque partie.
Choisir une aiguille suffisamment fine pour passer dans les trous qui sont parfois très petits.
Faire des points serrés à cheval sur le bord du bouton-pression, en passant l’aiguille dans les trous.
Pour la partie avec bosse, on ne prend qu’une épaisseur de tissu pour que les points soient invisibles sur l’endroit.